Discussion:
Ô combien !
(trop ancien pour répondre)
unknown
2008-09-07 08:29:03 UTC
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Bon réveil dominical,

Je viens d'écrire un courriel dans lequel m'est venue cette phrase :
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette ô combien précieuse
prestation... ».
Finalement, j'ai cru bon de corriger en :
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette précieuse (Ô combien !)
prestation... ».

La première phrase (que je ressens spontanément comme mieux tournée)
était-elle correcte ?
Kiriasse
Pierre Hallet
2008-09-07 08:59:17 UTC
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Post by unknown
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette ô
combien précieuse prestation... ».
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette
précieuse (Ô combien !) prestation... ».
La première phrase (que je ressens spontanément comme
mieux tournée) était-elle correcte ?
Vous demandez si quelque chose que vous avez « corrigé »
était « correct » ? Vous nous étonnerez toujours.

Perso, je trouve (comme vous) votre première version
mieux tournée, et la deuxième fort lourde, surtout
avec cette pesante majuscule à « ô », défendable mais
éléphantesque. Si le commentaire est assez important
pour mériter une autonomie sanctifiée par une majuscule
et une ponctuation propres, pourquoi le mettre entre
parenthèses ?

Ma recommandation serait donc que vous décorrigiez.
--
Pierre Hallet.
Site (dont FAQ) du forum fllf : <http://www.langue-fr.net>.
Bernard Cordier
2008-09-07 08:54:37 UTC
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"Kiriasse" <http://www.kiriasse.fr/mailtokir/mailtokir.html> a écrit dans le
Post by unknown
Bon réveil dominical,
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette ô combien précieuse
prestation... ».
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette précieuse (Ô combien !)
prestation... ».
La première phrase (que je ressens spontanément comme mieux tournée)
était-elle correcte ?
J'admire votre spontanéité.
Dans la deuxième phrase, il me semble y avoir contradiction entre le « Ô
combien » , qui met en relief la préciosité de la prestation, et sa mise
entre parenthèses.
Je préfère la première phrase mais ne vois pas d'utilité à parler de «
précieuse prestation ». Je dirais, plus simplement, cette prestation ô
combien précieuse.
J'imagine que vous avez voulu mettre l'accent sur « ô combien ».
dphn
2008-09-07 09:41:32 UTC
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Post by Bernard Cordier
"Kiriasse"
Post by unknown
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette ô combien précieuse
prestation... ».
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette précieuse (Ô combien !)
prestation... ».
La première phrase (que je ressens spontanément comme mieux tournée)
était-elle correcte ?
J'admire votre spontanéité.
lol
Post by Bernard Cordier
Dans la deuxième phrase, il me semble y avoir contradiction entre le « Ô
combien » , qui met en relief la préciosité de la prestation, et sa mise
entre parenthèses.
Je préfère la première phrase mais ne vois pas d'utilité à parler de «
précieuse prestation ». Je dirais, plus simplement, cette prestation ô
combien précieuse.
Pas mal non plus...

Mais on croirait réentendre un certain refrain du piscénois d'honneur :
« Mourir vos beaux yeux, belle Marquise, d’amour me font », etc. ;-)
--
dphn
Goret Neuneu
2008-09-07 10:07:28 UTC
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Post by unknown
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette ô combien précieuse
prestation... ».
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette précieuse (Ô combien !)
prestation... ».
La première phrase (que je ressens spontanément comme mieux tournée)
était-elle correcte ?
Si vous tenez à corriger, mettez plutôt "cette prestation ô combien
précieuse".

Mais en parlant de précieuse, cette tournure me semble à éviter, sauf en
manière de plaisanterie.
--
G2N
L'été recueille,
L'hiver mange.
Goret Neuneu
2008-09-07 10:09:52 UTC
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Post by unknown
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette ô combien précieuse
prestation... ».
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette précieuse (Ô combien !)
prestation... ».
La première phrase (que je ressens spontanément comme mieux tournée)
était-elle correcte ?
Si vous tenez à placer ce "ô combien", mettez plutôt "cette prestation ô
combien précieuse" (comme Bernard Cordier l'a déjà préconisé)

Mais en parlant de précieuse, cette tournure me semble à éviter, sauf en
manière de plaisanterie.
--
G2N
Entre juillet et août
Le boire est de bon goût.
kduc
2008-09-07 10:35:36 UTC
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Post by unknown
Bon réveil dominical,
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette ô combien précieuse
prestation... ».
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette précieuse (Ô combien !)
prestation... ».
La première phrase (que je ressens spontanément comme mieux tournée)
était-elle correcte ?
D'un point de vue syntaxique comme grammatical, je ne vois rien dans
les deux phrases qui soit incorrect.
Il me semble simplement qu'elle ne sont pas au même niveau
d'expressivité ; la première pourrait être quelque peu flagorneuse
tandis que la seconde laisserait deviner une pointe d'ironie.
Sans contexte, il est difficile de dire si l'une ou l'autre est
judicieuse.
--
kd
unknown
2008-09-07 11:11:42 UTC
Permalink
Ici *précieuse* veut dire *qui a du prix* et non *pédante* ou *affectée* et
le contexte (que vous ignorez) ne laisse aucun doute.
Mais peut-on écrire cette expression sans point d'exclamation après
*combien* ? C'était cela la cause de mon hésitation et la raison de ma
question. C'est parce que je pense qu'on ne peut faire l'économie du point
d'exclamation et que je doute qu'on puisse placer un point d'interrogation
au milieu d'une phase (sauf peut-être dans une énumération comme « Ô rage !
ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! ») que j'ai corrigé ma phrase initiale.

Kiriasse
Répondant à

===
"kduc"
Post by unknown
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette ô combien précieuse
prestation... ».
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette précieuse (Ô combien !)
prestation... ».
La première phrase (que je ressens spontanément comme mieux tournée)
était-elle correcte ?
D'un point de vue syntaxique comme grammatical, je ne vois rien dans
les deux phrases qui soit incorrect.
Il me semble simplement qu'elle ne sont pas au même niveau
d'expressivité ; la première pourrait être quelque peu flagorneuse
tandis que la seconde laisserait deviner une pointe d'ironie.
Sans contexte, il est difficile de dire si l'une ou l'autre est
judicieuse.
unknown
2008-09-07 11:13:25 UTC
Permalink
Ici *précieuse* veut dire *qui a du prix* et non *pédante* ou *affectée* et
le contexte (que vous ignorez) ne laisse aucun doute.
Mais peut-on écrire cette expression sans point d'exclamation après
*combien* ? C'était cela la cause de mon hésitation et la raison de ma
question. C'est parce que je pense qu'on ne peut faire l'économie du point
d'exclamation et que je doute qu'on puisse placer un point d'exclamation
au milieu d'une phase (sauf peut-être dans une énumération comme « Ô rage !
ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! ») que j'ai corrigé ma phrase initiale.

Kiriasse
Répondant à

===
"kduc"
Post by unknown
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette ô combien précieuse
prestation... ».
« Je ne sais si vous accepterez de prévoir cette précieuse (Ô combien !)
prestation... ».
La première phrase (que je ressens spontanément comme mieux tournée)
était-elle correcte ?
D'un point de vue syntaxique comme grammatical, je ne vois rien dans
les deux phrases qui soit incorrect.
Il me semble simplement qu'elle ne sont pas au même niveau
d'expressivité ; la première pourrait être quelque peu flagorneuse
tandis que la seconde laisserait deviner une pointe d'ironie.
Sans contexte, il est difficile de dire si l'une ou l'autre est
judicieuse.
kduc
2008-09-07 11:35:37 UTC
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On 7 sep, 13:13, "Kiriasse" <http://www.kiriasse.fr/mailtokir/
Post by unknown
Ici *précieuse* veut dire *qui a du prix* et non *pédante* ou *affectée* et
le contexte (que vous ignorez) ne laisse aucun doute.
Je l'avais bien lu ainsi.
Post by unknown
Mais peut-on écrire cette expression sans point d'exclamation après
*combien* ? C'était cela la cause de mon hésitation et la raison de ma
question.
S'il s'agit d'un aparté, je ne vois rien qui s'oppose à l'absence de
point d'exclamation, dans le cas de l'apostrophe, il me semble qu'on a
le choix.
(À titre purement personnel, j'aurais plutôt utilisé « Oh ! combien »
afin d'éviter une tournure vocative en relation avec un adverbe.)

--
kd
Pierre Hallet
2008-09-07 11:54:00 UTC
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Post by kduc
(À titre purement personnel, j'aurais plutôt utilisé
« Oh ! combien » afin d'éviter une tournure vocative en
relation avec un adverbe.)
Ô ceano nox ?

Le Hanse semble moins timide que vous en matière d'adverbe,
et plus hardi que Jean-Claude en matière de ponctuation :

- Ô mon Dieu !
- Ô vous qui...
- Ô combien !
- Il s'est fâché, ô très peu.

(Et n'oublions pas France Ô.)
--
Pierre Hallet.
Site (dont FAQ) du forum fllf : <http://www.langue-fr.net>.
kduc
2008-09-07 12:01:55 UTC
Permalink
Post by Pierre Hallet
Post by kduc
(À titre purement personnel, j'aurais plutôt utilisé
« Oh ! combien » afin d'éviter une tournure vocative en
relation avec un adverbe.)
Ô ceano nox ?
Le Hanse semble moins timide que vous en matière d'adverbe,
- Ô mon Dieu !
- Ô vous qui...
- Ô combien !
- Il s'est fâché, ô très peu.
Oui, tout cela est affaire de choix et, peut-être, d'aplomb pour
massacrer la langue.
--
kd
Pierre Hallet
2008-09-07 13:00:28 UTC
Permalink
Post by kduc
Oui, tout cela est affaire de choix et, peut-être,
d'aplomb pour massacrer la langue.
Il y a plusieurs manières de massacrer une langue : les
uns la secouent si fort qu'elle se délite, les autres la
ligotent si serré qu'elle s'asphyxie. Mais elle survit,
en louvoyant entre les secoueurs et les ligoteurs. Elle
a l'habitude, et une robuste santé.
--
Pierre Hallet.
Site (dont FAQ) du forum fllf : <http://www.langue-fr.net>.
kduc
2008-09-07 13:06:48 UTC
Permalink
Post by Pierre Hallet
Post by kduc
Oui, tout cela est affaire de choix et, peut-être,
d'aplomb pour massacrer la langue.
Il y a plusieurs manières de massacrer une langue : les
uns la secouent si fort qu'elle se délite, les autres la
ligotent si serré qu'elle s'asphyxie. Mais elle survit,
en louvoyant entre les secoueurs et les ligoteurs. Elle
a l'habitude, et une robuste santé.
Il y en a bien d'autres, de façons.
Pour les deux que vous citez, je suis d'accord, pour la robustesse
aussi, mais merci tout de même de m'avoir incité à réfléchir à ce
sujet sur des bases aussi nouvelles.
--
kd
Pierre Hallet
2008-09-07 11:39:42 UTC
Permalink
Post by unknown
Mais peut-on écrire cette expression sans point
d'exclamation après *combien* ? C'était cela la cause
de mon hésitation et la raison de ma question. C'est
parce que je pense qu'on ne peut faire l'économie du
point d'exclamation et que je doute qu'on puisse
placer un point d'exclamation au milieu d'une phrase
(sauf peut-être dans une énumération comme « Ô rage !
ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! ») que j'ai
corrigé ma phrase initiale.
Je doute que le point d'exclamation soit indispensable.
Ce qui me perturbe est de placer une proposition complète,
avec majuscule et ponctuation, dans une parenthèse *au
sein* d'une proposition. Les livres dont je dispose sont
muets à ce sujet, sauf implicitement via leurs exemples :

- soit la parenthèse est au sein d'une proposition, et
elle n'a ni majuscule ni ponctuation ;
- soit la parenthèse a majuscule et ponctuation, et elle
est placée entre deux propositions.

Tenez, essayons sur un exemple controuvé :

« Pierre Hallet prétend (Mais on sait que Pierre Hallet
est un beauf et un guignol.) que l'accord du participe
passé conjugué avec avoir est appelé à évoluer bien vite. »

Ce qui me choque dans la forme, c'est ce point « final »
après lequel une proposition interrompue repart comme si
de rien n'était. Comparez avec :

« Pierre Hallet prétend (mais on sait que Pierre Hallet
est un beauf et un guignol) que l'accord du participe
passé conjugué avec avoir est appelé à évoluer bien vite. »

qui, me semble-t-il, passe bien mieux.
--
Pierre Hallet.
Site (dont FAQ) du forum fllf : <http://www.langue-fr.net>.
kduc
2008-09-07 11:50:11 UTC
Permalink
Post by Pierre Hallet
« Pierre Hallet prétend (Mais on sait que Pierre Hallet
est un beauf et un guignol.) que l'accord du participe
passé conjugué avec avoir est appelé à évoluer bien vite. »
Ce qui me choque dans la forme, c'est ce point « final »
après lequel une proposition interrompue repart comme si
« Pierre Hallet prétend (mais on sait que Pierre Hallet
est un beauf et un guignol) que l'accord du participe
passé conjugué avec avoir est appelé à évoluer bien vite. »
qui, me semble-t-il, passe bien mieux.
On peut noter qu'une incise (si c'en est une, ce « Ô ! combien. »)
n'est pas censée avoir le moindre rapport syntaxique avec la phrase
dans laquelle elle figure, on peut donc imaginer qu'elle ait sa
ponctuation propre, au gré du scripteur. Ce serait alors une forme
d'anacoluthe.
--
kd
dphn
2008-09-07 12:07:07 UTC
Permalink
« Pierre Hallet prétend (mais on sait..) que l'accord du participe
passé conjugué avec avoir est appelé à évoluer bien vite. »
qui, me semble-t-il, passe bien mieux.
Oui.

Mais enfin, ce que j'en dis...
--
dphn
unknown
2008-09-07 13:11:44 UTC
Permalink
Cette autocritique à propos d'une histoire d'O me paraît savoureuse.
Mais je préfère les images originales :
http://netlibre.iitalia.com/francais/sexe/histoire_do/index.htm
Kiriasse
Répondant à

===
"Pierre Hallet"
« Pierre Hallet prétend (mais on sait que Pierre Hallet
est un beauf et un guignol) que l'accord du participe
passé conjugué avec avoir est appelé à évoluer bien vite. »
Pierre Hallet
2008-09-07 13:45:46 UTC
Permalink
Post by unknown
Post by Pierre Hallet
« Pierre Hallet prétend (mais on sait que Pierre Hallet
est un beauf et un guignol) que l'accord du participe
passé conjugué avec avoir est appelé à évoluer bien vite. »
Cette autocritique à propos d'une histoire d'O me paraît
savoureuse.
Quelle autocritique ? J'ai parlé d'un exemple controuvé :
cherchez le sens de « controuver » dans un bon dictionnaire
si vous en avez un. À défaut, le TLFi vous renseignera :

<http://www.cnrtl.fr/definition/controuver>.
Post by unknown
http://netlibre.iitalia.com/francais/sexe/histoire_do/index.htm
Hum. Quand vous serez fatigué de votre pseudonyme habituel,
essayez « Pervers Pépère ».

(J'aime bien ces liens où on s'attendrait à « télécharger »
mais qui disent « décharger ». Ha ha. Kolossale finesse.)
--
Pierre Hallet.
Site (dont FAQ) du forum fllf : <http://www.langue-fr.net>.
unknown
2008-09-07 14:05:01 UTC
Permalink
Parce que s'appeler Pierre Hallet et écrire que « Pierre Hallet est un beauf
et un guignol », ce n'est pas une autocritique ?
Et ne pas détester voir l'image d'une belle femme nue vous paraît vraiment
relever de la perversité ?
Décidément, vous n'avez pas fini de m'étonner.
Cachez ce sein que je ne saurais voir.
Kiriasse
Répondant à

===
"Pierre Hallet"
Post by unknown
Cette autocritique à propos d'une histoire d'O me paraît
savoureuse.
http://netlibre.iitalia.com/francais/sexe/histoire_do/index.htm
Quelle autocritique ? J'ai parlé d'un exemple controuvé :
cherchez le sens de « controuver » dans un bon dictionnaire
si vous en avez un. À défaut, le TLFi vous renseignera :
Hum. Quand vous serez fatigué de votre pseudonyme habituel,
essayez « Pervers Pépère ».
Pierre Hallet
2008-09-07 14:20:06 UTC
Permalink
Post by unknown
Parce que s'appeler Pierre Hallet et écrire que
« Pierre Hallet est un beauf et un guignol », ce
n'est pas une autocritique ?
Ça peut y ressembler, mais le lecteur intelligent aura
compris.
Post by unknown
Et ne pas détester voir l'image d'une belle femme
nue vous paraît vraiment relever de la perversité ?
Mon McAfee SiteAdvisor colorait « votre » site en rouge.
Vérifiez bien où vous vous baladez, sinon l'économiseur
d'écran de votre bécane pourrait un jour se trouver
abruptement remplacé par une image que madame Mariotte
n'apprécierait pas forcément (surtout si l'image est
animée).
--
Pierre Hallet.
Site (dont FAQ) du forum fllf : <http://www.langue-fr.net>.
unknown
2008-09-07 15:13:54 UTC
Permalink
Contrairement à vous, si j'ai bien compris, je ne suis pas allé au-delà de
la photo d'une belle femme nue.
Je ne sais si Mme Hallet vous épiait ou si elle peut espèrer de vos
pérégrinations plus avancées une meilleure performance.
Kiriasse
Répondant à

===
"Pierre Hallet"
Post by unknown
Et ne pas détester voir l'image d'une belle femme
nue vous paraît vraiment relever de la perversité ?
Mon McAfee SiteAdvisor colorait « votre » site en rouge.
Vérifiez bien où vous vous baladez, sinon l'économiseur
d'écran de votre bécane pourrait un jour se trouver
abruptement remplacé par une image que madame Mariotte
n'apprécierait pas forcément (surtout si l'image est
animée).

Stéphane De Becker
2008-09-07 10:53:50 UTC
Permalink
Nouveau gouvernement qui nous crève la panse...
Heureusement qu'est là, et qui un peu nous panse

Kiriasse
Post by unknown
Je viens d'écrire un courriel
Du moment que vous ne l'avez pas envoyé avant de lire les avis d'autres
falafélistes, il n'y a rien d'irréparable.
Continuer la lecture sur narkive:
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