Valcarus
2020-12-26 11:45:11 UTC
@JeanCASTEX 24 décembre:
"Alors que cette année a rappelé à chacune et chacun d'entre nous
combien ces liens sociaux qui nous unissent nous étaient
indispensables, combien les moments de communion populaire étaient
irremplaçables, nous avons plus que jamais besoin de Fraternité."
Passons sur la niaiserie du propos et sur les pléonasmes dont il est
coutumier ("...ces liens sociaux qui nous unissent...").
Castex alterne régulièrement entre le politiquement correct et le
réalisme grammatical. Dès le tweet suivant:
"Je veux aussi exprimer ma profonde gratitude à tous les agents de
l'État, à nos héros du quotidien, dans nos hôpitaux, commissariats,
casernes et à tous ceux qui veilleront ce soir sur leurs concitoyens."
Et non, en toute rigueur:
"Je veux aussi exprimer ma profonde gratitude à tous les agents et
toutes les agentes de l'État, à nos héros et nos héroïnes du quotidien,
dans nos hôpitaux, commissariats, casernes et à toutes et tous ceux qui
veilleront ce soir sur leurs concitoyennes et leurs concitoyens."
Pas facile, la vie de Jean.
"Alors que cette année a rappelé à chacune et chacun d'entre nous
combien ces liens sociaux qui nous unissent nous étaient
indispensables, combien les moments de communion populaire étaient
irremplaçables, nous avons plus que jamais besoin de Fraternité."
Passons sur la niaiserie du propos et sur les pléonasmes dont il est
coutumier ("...ces liens sociaux qui nous unissent...").
Castex alterne régulièrement entre le politiquement correct et le
réalisme grammatical. Dès le tweet suivant:
"Je veux aussi exprimer ma profonde gratitude à tous les agents de
l'État, à nos héros du quotidien, dans nos hôpitaux, commissariats,
casernes et à tous ceux qui veilleront ce soir sur leurs concitoyens."
Et non, en toute rigueur:
"Je veux aussi exprimer ma profonde gratitude à tous les agents et
toutes les agentes de l'État, à nos héros et nos héroïnes du quotidien,
dans nos hôpitaux, commissariats, casernes et à toutes et tous ceux qui
veilleront ce soir sur leurs concitoyennes et leurs concitoyens."
Pas facile, la vie de Jean.